BLEACH, the last time
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Eurynome...

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Eurynome
MON PROFIL

• MESSAGES : 262
• INSCRIPTION : 29/07/2011
• AGE : 34

• LOCALISATION : Hueco Mundo
• LOISIRS : Explorer !
• HUMEUR : Perdue ?.?

MON PASSEPORT
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Passeport
Rang: Arrancar
Points d'experience:
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Niveau: 16
Eurynome
BOUH! I'M A HOLLOW † HOLLOW

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Eurynome... Icon_minitimeSam 14 Juil - 11:06

Eurynome



Eurynome... 1zgay5j




♫ Musique ♫
Âge : Indéterminé
Sex : Féminin
Race : Hollow
Grade : Arrancar
Numéro : Aucun








Son Physique

Eurynome... 24v4rde




« Dans la mythologie grecque, Eurynome (prononcé Eurynomé) est une divinité primordiale dont le rôle varie selon les traditions. Elle est considérée par la plupart des auteurs comme une Océanide soit une nymphe marine, gardienne d’un fleuve, d’un lac. »

Un nom peut parfois tout dire. Pour Eurynome, il décrit bien les vagues que forment ses cheveux, d’un océan sans fin et noir jusqu’à s’y perdre, comme un bateau s’éloignant du rivage, emporté par une force étrange et inconnue.

Les heures passent, aucun signe de terre en vue. Alors que l’équipage s’emplit d’un désespoir certain, la nuit tombe et la lune se dévoile, les observant telle une mire d’un bleu magistral, éblouissant, une ellipse scintillante. Une autre lune apparait à gauche. Toutes les deux luisent comme de vraies perles rares et éperdument magnifiques. L’un après l’autre, les hommes s’avancent près du rebord et tendent les bras vers le ciel. Ils sont hypnotisés. L’un après l’autre, ils se jettent à la mer et disparaissent, à jamais.

L’océan s’agite un peu suite à cette nouvelle alchimie. Sans équipage pour le manœuvrer, le bateau se dirige droit vers un iceberg blanc submergeant de la mer telle une corne d’un démon. Puis, la coque heurte brusquement la surface osseuse de ce qu’on aurait cru être de la glace, et se brise en morceau.

L’eau, sous forme de longs filaments noirs, pénètre dans la cale du bateau tandis que d’autres fils s’agrippent de chaque côté, le tirant dans les profondeurs des abysses. Soudain, une gueule squelettique s’ouvre grand et engloutit le bateau d’une bouchée.

Cette histoire n’est rien d’autre que le fruit de son imagination enfantine lorsqu’elle gouta à sa première pomme.





Son Mental



Ô mnémosyne, pourquoi as-tu tant de remord ?
Elle est souvent triste et regrette ses choix, ses actions, ce qu’elle est. Elle se déteste tout au fond et se voile comme une enfant pour se cacher de la vérité, de la culpabilité. Elle ne veut pas admette qu’elle est un monstre. Elle ne veut pas l’accepter. Elle ne veut pas admettre qu’elle tue pour survivre. Elle veut changer.

Étrange petite chose, pourquoi m’aides-tu ?
Elle fera tout pour se sentir utile, se sentir aimée. Elle cherche constamment la compagnie et ne peut rester seule très longtemps. Elle aime écouter, consoler et supporter ses proches. Ennemie ou allié, cela importe peu tant qu’elle échappe à la solitude et l’oublie.

Eurynome, belle créature, peux-tu parler ?
Elle utilise ses mains et son corps pour communiquer car son masque lui en empêche, couvrant sa bouche pour ne laisser que quelques petites lamentations audibles. Cependant, elle serait capable de télépathie avec certaines personnes.

Mais que fais-tu donc, petite arrancar ?
Elle est curieuse et se met souvent le nez où il ne faut pas. Elle aime apprendre sur les humains, les shinigamis… mais particulièrement les humains avec leurs divers moyens de communications. Elle sait lire et écrire, lui permettant de parer son handicap lorsqu'un papier et un crayon se présentent à elle.





Son Histoire


Ce que j’étais…
Il était une fois un rêve…

Mes humbles salutations à vous lecteurs, mon nom est Azzyj, du moins, c’est ainsi qu’on m’a appelé durant ces quelques épisodes. La présente est pour vous instruire sur la situation de mon inventrice, Eurynome. Une jeune humaine.

Je lui ai apparu pour la première fois dans un songe sous la forme d’un éventail pourpre, alors qu’elle se cachait pour fuir un gigantesque Hollow, ou plutôt monstre de son imagination formé de quatre piliers de métal flexible en guise de pattes. Son corp était celui d’un chien à la chair mutilée par des chaines et des crochets perforant aléatoirement sa peau et une tête encagoulé dans un sac de cuir attaché avec un nœud coulant autour du cou. La bête habitait un désert de sable et de fumée duquel le seul refuge était une caverne de miroirs. Ironique pour une humaine ne connaissant pas le Hueco Mundo. Bref, elle était là : recroquevillée, son front sur ses genoux, pleurant comme une veuve.

La seule chose visible sur les murs réfléchissant était sa silhouette sous tous ses angles, un physique d’une jeune enfant, des cheveux noirs et sales, en nattes attachées de corde de lin et un grotesque vêtement en une seule pièce. La seule chose audible était ses gémissements aiguës ou l’écho de ceux-ci comme si chaque réflexion pleurait indépendamment l’une de l’autre. Moi, j’étais logée au centre de l’antre, visible à elle, mais ne projetant aucune réflexion sur les innombrables miroirs. À l’extérieur, la bête hurlait à pleine gueule, mais seule une minime fraction de cette force vocale parvenait dans les confins de l’abri. J’aurais pu ne rien dire, attendre et gaucher sa réaction, mais clairement, elle n’avait aucune idée de que faire autre que pleurer. Amusons-nous un peu.

- Bonjour, petite, dis-je en une voix féminine ne provoquant pas le moindre écho.

Elle leva la tête, un air d’effroi envahissant son visage et ses yeux s'exorbitant et cherchant la source de la voix. Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer. Certainement, la situation onirique dans laquelle elle était n’avait rien de rassurant, mais paniquer simplement en entendant une voix, la mienne, qui plus être, une voix si angélique et mielleuse, je me sentais presque blessée.

- N’ait pas peur, petite, je ne suis pas ton ennemie.

Ses yeux continuèrent à rechercher la source, mais toujours avec cet air paniqué. Puis, elle se boucha les oreilles et se ferma les yeux. Éventuellement, elle se réveilla, mais nuit après nuit, elle faisait le même cauchemar. Elle se réfugiait dans cette caverne de miroir pour fuir la bête difforme qui la chassait à travers le désert de fumée. Elle fermait les yeux, se recroquevillait et restait silencieuse, sauf quelques gémissements. Je tentais de lui parler, mais elle n’écoutait rien. Ce jeu me lassait…

Une nuit, cependant, alors que je pensais simplement rester silencieuse, la pauvre petite demanda finalement :

- Tu ne parles plus ?

- Oh, tu veux parler maintenant ?

- Que me voulez-vous ? Demanda-t-elle l’air toujours troublé comme si elle sentait qu’elle allait regretter ce brin de curiosité.

- Ne sois pas si troublée, mon enfant. Je suis ton amie.

- Vous… êtes… où ? Demanda-t-elle en levant son front de ses genoux, et regardant autour de la caverne, ne voyant visiblement que son reflet dans les miroirs.

- Devant toi, petite, dis-je de sorte à ce qu’elle me voit sous ma forme onirique.

- Vous êtes… un éventail ?

- Tu peux m’appeler Azzij, dis-je d’un air enjoué.

- Azzij…?

- Et toi ?

- Eury… Eurynome…

- Pourquoi es-tu ici, Eurynome ?

- Parce que… c’est chez moi…

- Tu habites une caverne de miroirs ?

Eurynome acquiesça lentement avec incertitude. Cela se voyait, elle me craignait toujours. À voir son habillement, même son imagination ne semblait pas apte à conjurer de plus beaux vêtements. Pour un endroit qu’elle pouvait appeler « chez moi » elle n’en montrait pas l’assurance. Cependant, elle ne semblait pas mentir ou se faire des idées pour autant.

- Tu ne parles pas souvent, on dirait. Aimerais-tu me parler ?

- Non. Ce n’est pas bien…, dit-elle en decrescendo comme si elle avait même honte d’avoir parlé jusqu’à ce point.

- Mais non, parler est bien ! Rétorquai-je d’une voix enjouée. Et je veux que tu parles, j’aime t’entendre parler.

Eurynome hésita, visiblement confuse. Était-elle une religieuse, un moine, une bibliothécaire ? Quelle personne saine d’esprit associe le mal à la parole ? Les humains sont bien étranges parfois.

- Si tu reviens ici, demain soir, j’espère que nous pourrons à nouveau parler.

Sur cette note, elle s’éveilla, quittant son monde pour recouvrer la réalité. Les nuits suivantes, peu à peu, je commençai à gagner sa confiance et avec cela, j’acquis de ses confidences. Au départ, je lui parlais beaucoup, et lui demandait plein de question dont elle pouvait répondre en acquiesçant ou en secouant la tête. Puis, avec le temps, je lui parlais un peu de moi, mais je l’écoutais beaucoup. Je pouvais sentir qu’elle me privilégiait bien au-delà de tout être. Moi, une simple « invention ». Ses sentiments se confirmèrent après plus d’un mois de bavardage.

- Tu as des amis ? Lui demandai-je toujours piégée dans l’éventail pourpre.

- Des amis…, demanda-t-elle avec un visible effort de concentration comme s’il s’agissait d’un concept à la fois familier et inconnu.

- Des amis, des personnes avec lesquels tu peux jouer, rire, parl… pardon, c’était une question stupide.

- Non, je veux dire, oui, je… je veux dire, Azzyj est mon amie, non ?

- Bien sur, Eurynome, je suis ton amie.

- Je… je peux te manier ? Demanda-t-elle timidement.

- Hum… d’accord je suppose, soit délicate.

Elle me saisit et me mania selon mes instructions, m’ouvrant d’un coup sec alors que je lui révélai chaque lame dont j’étais composée. Je ne voulais, pas même en rêve, la voir se blesser. Nous avons passé le reste de la soirée à pratiquer un peu de danse à la manière d’une Geisha et même jouer à quelques jeux de rôle. Elle se prenait pour un brave prince qui avait reçue une arme bénie des dieux en quête de sauver le monde et s’amusait à confronter ses milles réflexions dans les miroirs en donnant des coups plus agressifs, forçant mes lames à s’écarter un peu plus les unes des autres.

Elle n’avait aucune idée de ce genre de concept et avalait toutes les explications que je lui donnais comme une enfant buvant avidement du sein de sa mère. En combattant ses images, elle remarqua que sur certaines surfaces, j’apparaissais sous la forme d’un éventail. Nous rîmes jusqu’au matin où son inéluctable réveil la tira de sa torpeur. Hélas, la nuit suivante, je réalisai avoir surestimé mon influence sur elle.

- Tu connais tes parents ?

- Parents ? Me demanda-t-elle avec un air confus.

- Papa et maman ?

- Oh ! Oui, j’ai Papa et Maman ! J’aime Papa et Maman.

- Et vous vivez dans la caverne de miroir tous ensembles ?

- Oui. Nous vivons tous dans mon chez-moi.

- Tu aimes tes parents beaucoup, on dirait.

- Papa… maman…, dit-elle en se recroquevillant, le regard livide et les yeux grand ouverts.

- Eurynome ? Eurynome ? L’interpellai-je sans succès.

- Papa et maman sont trop occupés par leur travail pour s’occuper de moi… Et lorsqu’ils s’occupent de moi… Papa… Maman…, dit-elle comme si elle était en transe.

- Des frères et sœurs ? Tu en as ? Demandai-je question de changer le sujet.

Eurynome n’en fit rien. Elle me regardait sans cligner des yeux. Je pouvais sentir les battements de son cœur s’affaiblir et sa respiration se retenir. Elle réprimait quelque chose, quelque chose de malsain… quelque chose… de puissant… C’est comme si elle était revenue à nos débuts. Pourtant, elle était différente. Elle n’affichait pas une expression de tristesse ou de peur, mais quelque chose de bien plus sombre. Je sentis le besoin d’en savoir plus, mais je sentais aussi qu’elle avait besoin de sortir, d’expulser ses chimères.

- Papa… maman…, répétait-elle incessamment.

- Eurynome. Tu peux me faire confiance… dis-moi tous. Parle-moi de papa et maman.

- Papa…, amorça-t-elle. Papa… me crie toujours dessus… Papa n’aime pas que j’aide, n’aime pas que je parle, me frappe quand je désobéis… Maman… Maman n’aime pas que je désobéis, dit que je ne l’aime pas, que je désobéis parce que je ne l’aime pas, que je suis un poids inutile... que je n’aurais jamais dû être née… Papa… Maman…

- Eurynome ?

- Papa travaille… toujours… toujours… Je dois travailler aussi, mais Papa dit que je travaille mal, que je fais par exprès, exprès parce que je n’aime pas Papa… Papa me dit de ne pas travailler… Papa dit que je suis inutile… ne me nourrit pas toujours… dit que ceux qui travaille mange…

- Eurynome, du calme, petite.

- Maman… Maman aime Papa, travaille avec Papa… dit que Papa travaille dure parce que je travaille mal… parce que je n’aime pas Papa… parce que je n’aime pas Maman… Maman travaille toujours…

- Eurynome, dis-je d’une voix craintive.

- Et quand ils sortent de chez-moi… puis quand ils reviennent… Papa… Maman… HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH, cria-t-elle a un point tel que son visage se déforma sous la pression.

Sur ces plus récents hurlements, la petite serre ses tibias comme si elle tentait de se verrouiller sur elle-même. Aucune de mes paroles n’est arrivée à la faire réagir jusqu’au réveil. La nuit suivante, je suis demeurée silencieuse, de peur de traumatiser la pauvre enfant.

- Azzyj, me dit-elle sur un ton inquiet. Tu ne parles pas ce soir ?

- Eurynome… pardon pour hier soir… je ne voulais pas…

- Azzyj n’a rien fait de mal hier soir, dit-elle avec un air confus orné d’un sourire radieux et sincère. Hier soir était plaisant. J’ai aimé tous les jeux auxquels nous avons joués.

Les jeux ? Nous avons joué… deux soirs passés ? Ne se souvenait-elle pas d’hier ? De ses parents ? De la crise dont elle a été victime ? A-t-elle simplement oublié… ou refusait-elle de s’en rappeler ? Sa voix… aucune inflexion, aucune hésitation, aucun regret, aucune gêne… Elle ne mentait pas. Elle était parfaitement innocente… Comment était-ce possible ? Je commençais à comprendre… du moins, je le croyais sincèrement… à ce moment.

- Tu as aimé les jeux ? J’en suis ravi, dis-je avec un brin de doute.

- Huhum ! Je n’ai jamais joué avec personne avant… C’était tellement bien. On recommence ce soir ? Demanda-t-elle avec hâte.

- Aimerais-tu jouer à un autre jeu ?

- Un nouveau jeu ?

- Oui, Eurynome, un nouveau jeu.

Eurynome s’assit et écouta attentivement les règles.

- Prends-moi, lui instruis-je suivi d’une immédiate exécution de sa part. Et cherche une de tes réflexions possédant un éventail.

- Une réflexion avec un éventail, répéta-t-elle enjouée et tournoyant avant de s’arrêter en face d'une paroi. En voila une !

- Bien, rapproche-toi de l’image… et saisie-la.

Eurynome parut un peu confuse par la seconde partie de mon instruction. Elle approcha sa main de la paroi, sans trop être certaine de comment agripper la surface, la caressant initialement, puis posant la main fermement sur celle-ci. C’était à ce moment que l’image sortit de la paroi, entrelaçant ses doigts avec les siens.

- Tu en as choisi une mature, on dirait, commentai-je.

- Mature ?

- Regarde ses doigts : ils brillent et dégagent une aura phantasmatique, dis-je en décrivant le nuage de fumée blanche entourant ses doigts et la forme cristalline.

Eurynome plongea ses doigts dans le miroir et tira sur la réflexion au point de l’extraire complètement. Le phantasme avait une allure tout à fait similaire à celle de la gamine, mais était conçue différemment. Son corps était fait d’une forme de minéral ressemblant à un diamant. Autour d’elle flottait un nuage translucide, particulièrement condensé autour des tâches de saleté et de poussière. Deux flammes pourpres formaient ses pupilles sur une cornée transparente. La figure phantasmatique se contorsionna un peu de sorte à examiner ce de quoi elle avait l’air. Elle remarqua l’épée qu’elle avait en main : une lame saphir sur une hampe émeraude. Elle sourit avec une dentition de zircon.

- Pas mal, dis-je alors que ma voix provenait du dupliqué d’éther.

- Azzyj ? Dit-elle en scrutant mon nouveau visage puis revenant vers l’éventail pourpre qu’elle avait en main.

- Pas mal du tout, Eurynome. C’est une belle image, constatai-je avant de faire une révérence. Oui, c’est bien moi. Enfin, temporairement tant et aussi longtemps que tu ne…

Eurynome, étant si mystifié par le phénomène, lâcha son emprise, me laissant tomber au sol.

- Ouille ! Dis-je alors que l’arme tomba au sol, brisant la réplique phantasmatique.

- Azzyj ! Je m’excuse, plaida-t-elle. C’était…

- Je sais, l’interrompis-je. Je ne peux garder cette forme que si tu garde l’éventail dans ta main, sans quoi je perds mon lien avec toi.

- Je vois… je m’excuse, Azzyj.

- Ce n’est pas grave. Nous ressaierons demain soir. D’accord ?

- Huhm ! Acquiesça-t-elle joyeusement.

Les nuits suivantes, nous parlâmes surtout face à face. J’adoptais la forme d’une dupliquée d’Eurynome à chaque nuit, parfois sous la forme d’un phantasme éthéré, parfois sous la forme d’une réplique exacte et sans éclat. Quelque part, je me détestais lorsque j’adoptais ce genre de forme, car je n’étais pas aussi belle que j’aurais pu l’être, mais l’idée de ne pas passer mes nuits sous la forme restreinte d’une arme était agréable. Je pouvais articuler mes mouvements et m’exprimer avec mon visage et lorsque nous jouâmes ensemble, j’étais bien plus qu’une simple narratrice, je pouvais agir, jouer avec elle. Éventuellement, j’en avais presqu’oublié le chapitre au cours duquel nous avions parlé de ses parents et cette crise qu’elle avait subi. Après une partie d’escrime, nous nous accotâmes dos à dos et commençâmes à discuter

- Tu veux sortir de « chez-toi »? Demandai-je.

- Jamais ! Rétorqua-t-elle fermement.

- Pourquoi ?

Elle ne répondit pas, alors j’entamai :

- Pourtant, lorsque tu dors, tu apparais toujours dehors et te fait chasser par ce monstre.

- J’aimerais apparaître ici… près de toi…

- Je crois que tu veux sortir. Tu as peur, c’est normal et c’est pourquoi tu reviens ici, mais est-ce que tu t’y plais ? Resterais-tu ici si je n’étais pas là ?

- Je n’en sais rien…, dit-elle avec une gorgée de culpabilité.

- Je crois que tu le sais, Eurynome, non, je sais que tu le sais.

Eurynome ne répondit pas et maintint le silence pour le reste de la nuit. Elle semblait perplexe, doutant d’elle-même, de ses désirs. Je pouvais clairement le voir, le sentir par son immobilité. Je posai ma main gauche sur son épaule en signe d’appui. Le soir suivant, je sentis l’éther se créer, formant le rêve autour de moi, mais je ne la vis point traverser l’entrée de la caverne… J’attendis pendant ce qui me parut être une éternité. Rêvait-elle d’autre chose ou était-elle perdue dans le désert de fumée ? Finalement, je pouvais voir son reflet sur le miroir du plafond. Elle était rentrée.

- Tout va bien, petite Eurynome ? Demandai-je sur un ton accueillant.

La petite était épuisée, étouffée, noircie et sale. La sueur maculait son front et son cœur battait si fort qu’il émettait son propre écho.

- Eurynome ? Tout va bien ? Demandai-je, pressant une réponse de sa part.

Eurynome tituba jusqu’à moi, toujours prisonnière de ma forme onirique originelle, et me saisit.

- Azzyj…, dit-elle finalement en s’effondrant au sol.

J’émergeai du miroir sur le sol sous la forme d’un phantasme et je la rattrapai par les épaules avant que son visage ne heurte le sol. Je renversai la poigne de mon propre éventail avant de la glisser contre son dos pour l’entrelacer. Lentement, je la fis pivoter vers la droite afin de la porter dans mes bras en accotant son dos contre mon genou.

- Que faisais-tu, petite Eurynome ?

- Quitter… le désert… répondit-elle faiblement. Le monstre… la fumée… je n’ai rien vu d’autre... il n’y a pas de fin…

- Eurynome, dis-je lentement en essuyant la suie de son visage souillé.

- Tu as raison… je veux partir… mais je ne veux pas mourir… ou laisser Papa et Maman…

Encore ses parents… encore en si haute estime… Ne pouvait-elle pas comprendre que ses parents n’étaient pas des bonnes gens ? Ne voulait-elle pas comprendre ? Elle le savait : quelque chose en elle le savait. Elle le refoulait, le cachait, le verrouillait de sorte à ne pas éprouver cette haine. En entendant ces mots, je lui aurais dit… mais je ne voulais pas la voir… en transe, incapable de parler, de dire autre chose que « Papa… Maman… » en boucle jusqu’au réveil. La séquence de cette soirée repassait devant mes yeux en l’espace d’un instant, puis quelque chose me revint en tête.

- Tes parents…, amorçai-je calmement et lentement en lui caressant la tête. Ils peuvent sortir de chez-toi, n’est-ce pas ?

Je sentis son cœur battre de plus en plus fort. Je vis ses pupilles se dilater et son souffle devint saccadé.

- Oui, répondit-elle.

- Mais ils reviennent toujours, n’est-ce pas ?

Je sentis une nouvelle accélération de son cœur. Je sentais sa chair frissonner, sa poigne sur la hampe de la lame éthérée se crisper, ses dents se serrer.

- Oui… dit-elle en dentriloque.

- Eurynome, jouons ensemble un peu. D’accord ?

Je sentis la tension se baisser. Eurynome poignait la hampe avec plus de fluidité et sa pupille se rétrécit à une taille normale. Sa main me serrait toujours un peu au niveau de la hanche, mais cette étreinte avait une certaine chaleur agréable. Elle acquiesça et nous jouâmes jusqu’au matin. Je ne voulais pas qu’elle perde la mémoire comme la dernière fois, et qu’elle erre dans le désert pour revenir dans un état déplorable comme ce soir parce qu’elle avait oublié l’avoir fait. Le lendemain, elle rentra dans la caverne avec assiduité et saisit la lame pour me permettre de prendre possession d’une de ses réflexions.

- Bonsoir, Azzyj, à quoi joue-t-on ce soir ? Dit-elle sur un ton enjoué.

- Eurynome, quelque chose me tracasse, dis-je en mettant ma main sur sa tête.

- Oui, acquiesça-t-elle avec attention.

- Tes parents quittent ton chez-toi de temps en temps, n’est-ce pas ?

- Oui… dit-elle, commençant à manifester une très faible, mais palpable, version de ses symptômes de réclusion.

- Qu’est-ce qui se passe lorsqu’ils reviennent ?

Eurynome faisait un effort, tant physique que psychologique, pour maintenir son tempérament à un état de calme, mais je pouvais sentir la pression monter, sa voix se saccader et son souffle se couper.

- Lorsqu’ils reviennent… je peux les entendre… parler de… m’envoyer chez les dieux…

- T’envoyer chez les dieux ? Dis-je en voilant ma réaction et cachant un rire nerveux.

- Plusieurs fois… en me réveillant…, je trouvais… près de mon lit... Papa…ou Maman… avec un couteau… parfois levée et prêt à frapper, mais Papa et Maman hésitent et cessent… jusqu’à la prochaine… occasion… Papa et Maman sortent… puis reviennent… et parlent de me laisser au soin des dieux… je ne sais pas qui ils sont… je ne les aime pas… Papa me dit qu’il m’aime… Maman me dit qu’elle m’aime… Je leur dis que je les aime… mais…

À ce moment, je pouvais sentir ses poings exercer une pression presqu’inhumaine sur la hampe de mon épée… ses pupilles commençaient à se dilater et son cœur battait à tout allure. Elle était sur le point de craquer. Je sentais que la chose la plus raisonnable pour elle était de lui dire la vérité, ce qu’elle ne semblait pas vouloir admettre à elle-même.

- Eurynome… je crois que tu dois comprendre quelque chose de très important pour survivre. Tes parents… tes parents veulent te tuer…

- MENSONGE ! Interrompit-elle avec brutalité et fermeté.

- Eurynome, calme…

- MENSONGEMENSONGEMENSONGEMENSONGE… Papa et Maman ne feraient jamais rien de tel ! Dit-elle en augmentant le volume et en se serrant la tête.

Je m’approchai d’elle, mais en tentant de poser ma main sur sa tête, je vis mon avant-bras tomber au sol, se brisant en des milliards de miettes de verre sur l’impact. Rien de grave, cela dit, ceci n’est qu’un rêve et je ne suis qu’une créature d’éther comme tout autre, mais j’étais néanmoins très surprise par une telle réaction de sa part. Me couper le bras avec ma forme originel était digne d’une mauvaise blague ironique.

- Pourquoi, Azzyj…? Pourquoi me mentirais-tu ? Nous sommes amies ? Pourquoi ? Disait-elle sans la moindre inflexion dans son ton de voix et avec un regard vide.

- Je ne mens pas, Eurynome…

- Vilaine Azzyj…

C’est à ce moment qu’elle se jeta sur moi avec ma forme originel à la main, me faisant trébucher après avoir été brutalement poussé au sol. Empoignant à deux mains ma forme originelle dans le sens inverse, elle m’estoqua plusieurs fois au torse. Frappant de toutes ses forces, elle tentait, vainement, de me tuer. La poussière de verre éclaboussait partout dans la caverne et l’écho de ses frappes résonnait aussi loin que son rêve s’étendait. Elle était si loin dans son délire, mais je pouvais comprendre qu’elle ne voulait pas la vérité. Elle ne tentait cependant pas de le nier, son comportement était plutôt enclin à éliminer la preuve, ne pas regarder en arrière et vivre comme si rien de cela ne s’est jamais produit. Ce qu’elle est… intrigante ?

Soudainement, une larme ruissela le long de sa joue et sa salve de coups s’interrompit. Eurynome cessa de bouger, comme si en plein coma soudain. Ses yeux étaient grand ouverts, mais ses pupilles redevenaient normales. Elle s’effondra près de moi, son épée toujours en main. C’est comme si tout son corps, cœur, sang et cerveau, avaient cessés de fonctionner afin de redémarrer. Elle se releva et regarda la lame qu’elle tenait en main puis d’un bref tour d’horizon, elle cria mon nom :

- Azzyj !?

- Ici… dis-je d’une voix faible, pas parce qu’elle m’aurait perforé les poumons, mais parce que ses coups étaient brutale au point de déformer ma mâchoire.

- Azzyj ! Qu’est-ce qui t’es arrivée ? Tu es en morceau ! S’exclama-t-elle avec effroi.

- Tu… m’as fait… ca…

- Azzyj… n-non… comment aurais-je pu te faire cela ? Dit-elle, visiblement inquiète alors qu’elle prend ma tête légèrement brisée dans sa main gauche, l’éventail fermement agrippée dans la droite.

- Tu ne… te souviens… pas ? Dis-je.

- Azzyj, tu es ma meilleure amie, je ne pourrais… pas faire… cela… je t’aime trop… Pleurait-elle gratifiant mes restes d’une étreinte sincère.

- Je t’aime… aussi… dis-je alors qu’elle se réveilla.

D’ordinaire, j’ai de quoi occuper mes journées pendant qu’Eurynome ne sommeille pas, mais ce lendemain, je n’arrivais pas à me l’enlever de la tête. Qu’allais-je faire avec elle ? Allais-je toujours être avec elle et la suivre dans son périple ou simplement disparaître ? Devrais-je la libérer de l’emprise de ses parents ? De plus, j’avais l’impression que je commençais à tenir à elle. Elle s’est attachée à moi depuis mes débuts comme une simple arme et à suivi toutes mes instructions avec une foi inébranlable, crise de délire mise à part. Devenais-je partiale à son égard ?

Ces questions me hantaient, me faisaient douter, mais au bout du compte, ce fut une question qui me rappela de la simplicité de toute cette situation : était-ce amusant ? La réponse était évidemment oui et j’avais l’intention de faire en sorte que cela continue, croisse et devienne encore plus amusant.

- Azzyj ?

Qu’est-ce qu’était cette voix ? Eurynome ? Dormais-t-elle déjà ? Il n’était que midi. Quoi qu’il en était, je suppose que j’avais envi de la voir de toute façon. Sur cette pensée, je me rendis dans son rêve où je fus accueillie par une armée d’images réfléchies d’Eurynome. J’incarnais l’une d’entre elle, mais de mon point de vue, je n’arrivais pas à trouver l’originale. En regardant à travers la caverne, je l’aperçus au plafond, tentant d’extraire une nouvelle image du plafond.

- Qu’est-ce que tu fabrique, Eurynome ?

Elle cessa et se retourna vers moi avec un regard à la fois heureux et effrayé. Elle sauta dans mes bras sans un mot de plus et accota son front sur mon épaule.

- Que se passe-t-il, petite Eurynome ?

- Papa et Maman ont quitté chez-moi…, dit-elle alors qu’elle transigeait lentement vers une autre phase délirante.

- Veux-tu jouer à un jeu ? Dis-je avec ma petite idée derrière la tête.

- Oui…, répondit-elle avec un air confus sans pour autant douter de mon jugement.

- Ce jeu s’appelle « Course jusqu’au-delà du désert. » Le premier qui arrive au bout du désert gagne. D’accord ?

- Mais le monstre… protesta-t-elle.

- Tu n’es plus seule à l’affronter, maintenant. Regarde. Dis-je en pointant aux milliers d’images extraites de miroirs.

En lui faisant remarquer, plusieurs images se dirigèrent vers Eurynome, un éventail tranchant en main et le sourire aux lèvres. Aucune d’entre elle, hors-mi moi, ne reluisait particulièrement, mais au nombre qu’elle contrôlait, même un béhémoth comme celui à l’extérieur, surtout dans le sanctuaire de ses rêves, n’allait survivre un tel assaut. Tout ce qu’il fallait pour relever le défi était qu’Eurynome croit en elle et avec moi à ses côtés, je n’avais aucun doute quant à ses chances de succès.

- Le jeu est déjà commencé. Tu ne veux pas perdre, non ? Lui demandai-je avec un sourire.

- Non, Azzyj, je vais gagner.

Sur ce, elle partit, suivit de près par ses réflexions. La fumée commençait à envahir l’entré de la caverne, mais, en mettant son vêtement de lin sur son nez, elle n’hésita pas à franchir la frontière entre le confort et l’horreur. Avec la fumée épaisse, le ciel sans étoile et la caverne disparaissant éventuellement, la seule chose de visible était la bête de ses cauchemars se dirigeant avec des mouvements titanesques vers elle. Un de ses piliers métalliques qui constituaient ses jambes se posa au centre de son armée, écrasant près d’une dizaine de réflexion, les réduisant en un nuage de poussière de verre.

Sitôt cette première attaque conclue, plusieurs dizaines de réflexions se mirent à escalader la jambe du colosse, et prêt d’une douzaine parvint même à planter ce que ce monstre devait considérer comme des échardes sur son corps, quelques dix mètres au dessus du sol. La bête hurla et se mit à rugir à travers le sac qui lui recouvrait la tête, saignant de la fumée noire de ses plaies. Les réflexions qui étaient parvenu à frapper la bête tombèrent au sol et, suite à l’impact, se brisèrent en poussières de verre.

Le temps que la bête reprenne ses esprits, plusieurs dizaines de réflexions avaient commencé l’attaque de ses trois autres jambes, coupant la base de celle-ci, grimpant jusqu’à son corps et sautant sur sa tête. Le béhémoth s’apprêtait à les secouer quand soudainement, la véritable Eurynome s’accrocha à la corde en nœud coulant autour de sa gorge, celle semblant maintenir le sac. Sans une seconde d’hésitation, plusieurs réflexions se dirigèrent vers la corde et s’y accrochèrent à leur tour. La bête émit quelques bruits de souffle court typique à une personne, plutôt un chien, strangulé. Plus le nombre de réflexions s’accrochant à la corde augmentait, plus la bête titubait et avait de la difficulté à se tenir debout.

Lorsque la dernière réflexion s’agrippa, la gorge se brisa et la tête massive tomba au sol avec Eurynome. Ses réflexions se mirent à se briser et s’émietter afin d’amortir son impact de leurs restes. À la fin de cette lutte, seules moi sous la forme d’un fantasme et elle restaient. Le corps du monstre était figé debout. Sa tête s’était écrasée avant de s’évaporer en davantage de fumée. J’accourus rejoindre Eurynome sur un monticule de poussière de verre, l’escaladant jusqu’au sommet où elle était nichée.

- Eurynome ? Eurynome ? Tu m’entends ? Lui demandai-je en espérant une réponse de sa part.

Elle semblait dormir : ses yeux étaient fermés et elle respirait faiblement. Je craignais pour elle et tenta de la secouer afin de la réveiller. Soudainement, suite à un bruit de porte rouillé s’ouvrant, Eurynome ouvrit les yeux. Ce son devait provenir de la réalité : ses parents revenaient chez elle.

- Papa… Maman..., dit-elle avec amertume.

- Eurynome, le jeu n’est pas fini, tu dois atteindre les limites du désert, lui rappelai-je de sorte à la ramener vers un état stable.

- Oui…, dit-elle sur un ton déterminé en se relevant.

Après quelques minutes au pas de course, nous arrivâmes là où la fumée formait une cascade sans fin dans un gouffre sans fond.

- Alors, Azzyj, j’ai gagné ? Demanda-t-elle.

- Non, petite Eurynome, tu dois traverser les limites, pas simplement se tenir sur la frontière.

- Mais… je…

Un bruit métallique retentit dans le rêve, probablement engendré par ses parents prenant l’arme de leurs choix pour la tuer. Eurynome reconnaissait ce bruit et réagit horriblement à ce dernier. Je n’avais d’autre choix que de tester, peut-être pour une dernière fois, mon influence sur elle. Je la saisi par le bras droit et lui fit lancer ma forme originel dans le précipice. Ma forme phantasmatique se dissout en une fine poudre cristalline sitôt l’arme quitta l’emprise de sa main. Sans une seconde d’hésitation après avoir compris ce que j’eus fait, elle sauta à son tour et tenta désespérément de remettre la main sur l’éventail. En chute libre, elle étira son bras au maximum avant de finalement empoigner la hampe.

Son père était au bord de son lit avec un couteau au dessus de sa tête. Il était vêtu d’une horrible garde-robe de cuir et avait une barbe aussi noir et sale que la fumée du désert onirique de la gamine. J’observais la scène, sous la forme d’un spectre dans le coin de la chambre, mais Eurynome ne se réveilla pas. Elle était morte.

« La violence continue à semer ses germes. La violence est une maladie incurable qui fait des ravages incomptables. La violence anéantit l’existence de l’être et le réduit à l’état de l’objet, le néant de l’oubli. Elle existe partout. Rien n'y échappe, pas même l'innocence ô si délicieuse. »

Ces enfants me fascinent. Comme Eurynome, ils se réfugient dans leur monde jusqu’à perdre toute volonté de vivre. Parfois, la nuit, j’entends encore ses échos me parler, me raconter ses journées, se confier à moi comme elle le faisait dans ses rêves comme une prière dans l’espoir que je revienne. Si les choses auraient été différentes, peut-être… mais à quoi bon penser de « si » et de « peut-être », même parmi toutes mes déceptions, je ne suis pas apte à changer la réalité.

Je suppose que je suis heureuse que ses monologues oniriques soient des testaments, la continuation d’une vie nouvelle et que son âme devienne… comme tant d’autre avant elle, une partie de moi, faisant de moi un monstre plus intéressant encore, plus complet… plus chaotique.

Il est temps pour moi de gravir la chaine, laisser derrière ce stade d'adjuchas et devenir l'objet de ma plus grande fascination, en commençant par briser ce masque.







Dernière édition par Eurynome le Sam 14 Juil - 23:35, édité 10 fois
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Eurynome... Icon_minitimeSam 14 Juil - 11:58
Et bien tout d'abord, je te souhaite de nouveau la bienvenue Nell.

Pour ta fiche, je n'ai comptabilisé qu'une poignée de fautes mais là, franchement, je chipote clairement. Les phrases sont fluides, on sent qu'il y a un fil conducteur et c'est assez agréable à la lecture. Le personnage est original, la manière dont l'histoire est présentée l'est également. D'ailleurs, cette histoire pour le moins complexe, c'est juste la manière dont Eurynome percevait les choses durant sa période d'humaine ? Sa "bulle" ? Tu n'as donc présenté que sa vie en tant qu'humaine ? C'est dommage, son évolution jusqu'au stade d'arrancar aurait pu être intéressante à raconter.

Ces détails de côté, je ne vois pas d'inconvénients à la validation de la fiche. Si j'ai bien compris, tu comptes faire une arrancar errante ? Après confirmation de la revenante, je laisse aux modérateurs le soin de valider cette fiche.


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Eurynome... Icon_minitimeSam 14 Juil - 12:12
Oui elle sera errante. Pour l'histoire, le personnage que je vais jouer est la forme Arrancar de l'hollow qui a bouffé Eurynome, l'humaine. Elle a adopté son nom en signe de "fascination" et que l'esprit de la fillette démontrait une certaine puissante spirituelle, du moins, plus que la plupart des autres enfants.

C'est un personnage à personnalité double Eurynome... 675700275

Et contente que vous aimez bien, pour les fautes je vais relire une autre fois et faire de mon mieux Eurynome... 810156456




Dernière édition par Nelliel Tu Odelschwanck le Sam 14 Juil - 12:19, édité 1 fois
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Eurynome... Icon_minitimeSam 14 Juil - 12:17
Non mais ne t'en fais pas pour les rares fautes. Je laisse les modo valider cette fiche.


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Eurynome... Icon_minitimeSam 14 Juil - 12:34
Validé Arrancar LVL 16
N'oublies pas d'aller recenser ton avatar puis d'aller faire ta fiche technique !
Bonne continuation sur BLT ~


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